Montoya Timaya Major et ses enfants – Source : spm
Au cours de cette période, la jeune fille a partagé les défis qu’elle a dû relever seule, y compris une césarienne lors de l’accouchement de ses jumeaux. Elle exprime sa fierté d’avoir réussi à obtenir un deuxième baccalauréat en échographie cardiovasculaire et une maîtrise en sciences de la santé.
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Elle raconte : « Notre groupe comptait initialement 26 étudiants et seulement 17 d’entre nous obtiendront leur diplôme. Cinq mois après le début de mon master, j’ai appris ma grossesse ». Lorsqu’elle a informé son directeur de programme qu’elle attendait des jumeaux, celui-ci lui a suggéré de prendre une année sabbatique, jugeant la tâche presque impossible avec deux enfants.
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« Je ne manquais pas un seul jour de cours, assistant à toutes les classes jusqu’au jour de mon accouchement. Une semaine seulement après une césarienne, j’étais de retour sur les bancs de l’école », confie-t-elle. Malgré son absence d’une semaine, jugée inacceptable, elle était résolue à persévérer.
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Ses résultats scolaires en ont souffert, et son anxiété s’est intensifiée. Craignant l’échec, elle pensait parfois à abandonner ses études, mais la responsabilité envers ses enfants la motivait à continuer.
Son père a joué un rôle crucial dans son parcours académique. Après la mort de sa mère, il lui a toujours inculqué l’importance de l’éducation. « Il m’a encouragée et soutenue pour que je poursuive mes passions académiques », dit-elle avec gratitude.
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Elle remercie également Dieu pour l’avoir soutenue durant ces épreuves. « Je me suis souvent demandée pourquoi ma vie était jalonnée d’obstacles. Pourtant, il avait un plan pour moi, et ensemble, nous l’avons réalisé ! J’ai persisté et j’ai réussi ».
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Elle conclut : « Deux ans, deux enfants et deux diplômes plus tard. Par la grâce de Dieu… nous n’avons pas seulement réussi, nous avons triomphé ! Aujourd’hui, je célèbre mon deuxième baccalauréat en échographie cardiovasculaire et une maîtrise en sciences de la santé.» Elle remercie son père et ses amis pour leur motivation constante, même en leur absence physique, et ses filles, sans qui elle n’aurait jamais persévéré.
