Un enfant de 2 ans surprend sa mère en sachant déjà écrire, lire et parler anglais
Difficile de se représenter à l’esprit qu’un enfant d’à peine 2 ans puisse lire, additionner et même parler anglais. C’est pourtant un profil qui existe, et il s’appelle Ravi Antonio de Guarapari. Un enfant dont la mère, Kenia Almeida Brambati, se dit “choquée” d’avoir un fils aussi impressionnant comme le rapporte le site Paise and Filos en janvier 2023.
Ravi Antonio de Guarapari, un petit garçon de 2 ans aux capacités cognitives impressionnantes. Source : spm
Elle confie la manière dont elle a découvert les capacités de son fils : « Nous étions en train de faire de l’écriture, lorsque j’ai écrit « Ravi » et qu’il l’a lu. J’ai été choquée. Le lendemain, incertaine, j’en ai écrit d’autres. À ce moment-là, il a lu tout ce que j’écrivais. Je dois avouer que je pensais qu’il avait enregistré et mémorisé ces mots grâce à un programme pour enfants qu’il regarde, mais je me suis rendu compte que ce n’était pas le cas ». Non seulement le petit garçon savait lire très tôt, mais il pouvait déjà additionner 2+3 et lire un certain nombre de termes en anglais.
Qu’on soit capable d’autant de choses à un tel âge est tout sauf courant, surtout à la vitesse à laquelle le petit génie brésilien assimile les informations. Et ce n’est autre que le témoignage d’une capacité linguistique et visuelle formidable. D’après Maria José Cerutti, pédagogue titulaire d’une maîtrise en éducation ses “parents devraient l’examiner et l’évaluer afin de pouvoir le guider”.
Ravi Antonio de Guarapari et ses parents. Source : spm
Des aptitudes impressionnantes mais sources d’inquiétude pour les parents
Malgré tout, l’intelligence de Ravi préoccupe ses parents et demandent l’avis de leur entourage à propos de la situation. « Je me suis dit « et alors ? Comment cela va-t-il se passer maintenant ? Je craignais beaucoup de ne pas savoir comment réagir. Certaines personnes disaient qu’il avait plus de QI que la normale, qu’il était très intelligent, et d’autres disaient que c’était peut-être de l’autisme. Mais beaucoup d’amis nous aident en ce moment », explique sa mère.
