L’incroyable parcours d’AnnaRose Rubright : une diplômée atteinte de trisomie 21

Je me souviens encore de ce jour où j'ai appris l'histoire d'AnnaRose Rubright. On était en plein confinement, et je scrollais machinalement sur mon téléphone quand son histoire m'a sauté aux yeux. Et là, je me suis dit : "Wow, ça, c'est de la détermination !" Si t’as jamais entendu parler d'elle, prépare-toi, parce que c'est vraiment inspirant. Imagine-toi obtenir ton diplôme universitaire, pas un truc facile hein, et encore moins quand tu fais face à des défis supplémentaires comme la trisomie 21. Mais AnnaRose ? Elle a montré à tout le monde qu’aucun obstacle n’était trop grand pour elle.

Un diplôme universitaire pour une jeune femme hors norme

AnnaRose Rubright

Début mai, à seulement 24 ans, AnnaRose a obtenu son diplôme en radio, télévision et cinéma à l’Université Rowan, dans le New Jersey. Rien que ça, c’est impressionnant, mais ce qui rend cette histoire vraiment spéciale, c’est qu’elle est la première personne atteinte de trisomie 21 à décrocher un tel diplôme dans cette université. Ouais, tu m’as bien entendu. Et en pleine pandémie en plus, avec la cérémonie qui s’est tenue sur Zoom – je sais, c’est moins glamour que les grandes salles bondées, mais c’était tout aussi émouvant. D’ailleurs, elle-même a dit que c’était un moment « très émotionnel » pour elle, et franchement, on la comprend.

Une famille unie derrière elle

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Quand je pense à son parcours, je ne peux m’empêcher de penser à sa famille. Ils l’ont vue se battre jour après jour pour arriver jusque-là. Après avoir obtenu son diplôme de lycée en 2014 et un diplôme associé en 2017, AnnaRose ne s’est pas arrêtée là. Et ça, c’est vraiment une leçon pour nous tous. Sa mère, Lin Rubright, a raconté combien les études prenaient du temps pour elle. Ce que toi ou moi on lit en vingt minutes, AnnaRose peut y passer des heures. Des heures, à cette table de cuisine, à persévérer sans relâche. T’imagines ? Et c’est là que je me dis : c’est quoi mon excuse, vraiment ?

Pas de raccourcis à Rowan

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Ce que j’ai trouvé admirable aussi, c’est que l’Université Rowan ne fait pas de « cadeaux » aux étudiants en situation de handicap. John Woodruff, le directeur du centre de ressources pour la réussite académique et les étudiants handicapés, a bien insisté là-dessus : aucun cours n’est simplifié. AnnaRose, comme tous les autres étudiants, devait répondre aux mêmes attentes, avec la même rigueur. Et je trouve ça bien, tu vois ? Parce que ça prouve que tout est possible, mais rien n’est donné sur un plateau d’argent.

Un soutien sans limites

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L’université offre tout de même un sacré soutien aux étudiants comme AnnaRose. Entre les séances de tutorat et l’accompagnement par des étudiants en master, ils leur apprennent à gérer leur temps et à s’organiser. Et ça, c’est clairement un atout qu’AnnaRose a su exploiter. Elle ne s’est jamais laissé dépasser par la charge de travail, même si parfois c’était difficile.

« Tu as déjà fait tant, tu peux t’arrêter maintenant »

Il y a même eu des moments où sa mère, en la voyant lutter, lui a dit qu’elle pouvait arrêter. « Tu as déjà un diplôme, tu peux t’arrêter si tu veux. » Mais AnnaRose ? Elle a refusé. Pas question pour elle de s’arrêter là. Elle a continué à se surpasser, à chercher de nouvelles opportunités. Elle a été intronisée dans la Delta Alpha Pi, une société d’honneur pour les étudiants en situation de handicap. Elle a même parlé à l’ONU et s’est battue pour les droits des personnes handicapées à Washington et à Trenton. Un véritable exemple de détermination !

Une passion pour le média et un futur prometteur

Et tu sais ce qu’elle a découvert en cours de route ? Sa passion pour les médias en ligne, les podcasts, les documentaires. Moi aussi j’adore les podcasts, mais de là à en produire ? AnnaRose, elle, elle veut carrément lancer sa propre boîte de production avec sa famille, pour raconter des histoires qui parlent aux personnes en situation de handicap. Franchement, j’ai hâte de voir ce qu’elle va produire. Ce n’est pas juste une jeune femme diplômée, c’est une battante avec une vision.

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