Qu’est-ce qui distingue le parfait dompteur de désir d’un amant lambda ? Les zones érogènes et l’art de s’y prendre ! Tout homme habile de ses mains doit savoir que rendre une femme folle de désir ne se réduit pas à titiller ses seins ou son antre secret. Pour faire monter la température, pendant les préliminaires ou les ébats, baisers et caresses ciblés ont leur effet. Encore faut-il savoir comment s’y prendre et où s’attarder ? Suivez le guide !
L’excitation nait différemment d’un individu à l’autre, stimulations, paroles érotiques, caresses et ambiances font office de mise en bouche de l’amour. La femme comme l’homme, puise son excitation dans les différentes parties du corps, ces récepteurs sensoriels qui maximisent la sensualité des émois et décuplent les plaisirs du toucher. Le corps féminin est une incroyable carte au trésor qui mène sur la route du plaisir et de l’orgasme. Touchez là, ici et comme ça, ça lui fera un bien fou.
Sésame ouvre-toi
Attention, l’intérieur des cuisses est une zone sensible qui ne reçoit pas l’attention qu’elle mérite, peut-être parce qu’elle est un peu trop près du but. Souffle chaud, baisers et légères morsures y sont les bienvenus. Que votre partenaire effleure cette partie du bout des doigts, dessine un tracé imaginaire, bécote et suçote cette peau si délicate jusqu’à vous donner des frissons jusqu’aux creux des reins, le désir monte et vous êtes dans l’attente de ce qui va suivre…
Caresse-moi les cheveux
Quelle extase que de se laisser passer la main dans les cheveux et prendre du plaisir que procure un divin massage du cuir chevelu. Saviez-vous en passant qu’au sommet du crâne se niche un point qui booste l’excitation ? Vous devez revendiquer ces préliminaires un peu plus souvent, le plaisir est d’autant plus irradiant quand le lobe et le creux de l’oreille s’excitent par le léger souffle de votre tendre et les mots d’amour qu’il vous susurre. Comme premier festin, ça détend et ça met en condition.
Croque-moi, Dracula !
On vous le dit, les bécots dans le cou n’ont rien de sage, il n’y a même rien de plus érogène. Prenez le temps de couvrir de baisers la nuque de votre tendre et chère, offrande qu’elle vous tend docilement, comme pour vous dire croque-moi Dracula. C’est bestial et chavirant, le « cou » de foudre garanti !
La clavicule adore aussi être flattée
Certes la zone est quelque peu limitée. Mais ce n’est pas une raison pour ne pas s’y attarder. On ne s’en serait jamais douté, mais cet endroit, prolongement du cou, où la peau est mince et sensible déchaîne ses passions… Pour la faire grimper aux rideaux, bécotez-la délicatement, à grand renfort de baisers multiples et suçons velours.
Le ballet des caresses improvisées
En voilà des prémices excitantes qui se précisent… Vous le sentez ce désir qui irradie de vos épaules à votre cambrure ? Les mains de votre chéri, baladeuses et légères, improvisent des caresses courant le long de vos épaules dénudées, elles se font plus pressantes et pénétrantes dans votre chair, pianotant et dessinant des arabesques au creux de vos reins. Vous sentez votre sang chauffer et ces éclairs de désir qui vous foudroient ?
Zone exquise à câliner
On croirait que ces zones protégées sont reliées par un fil invisible au clitoris, tant l’excitation peut porter la femme aux nus. Elle sera d’ailleurs ravie de tomber sous les mains agiles de l’amant averti. La balade devient peu banale et sinueuse. La peau y est glabre et fine, réceptive au moindre effleurement, affolée et en extase. Ça n’a peut-être l’air de rien comme ça, mais c’est très excitant.
Appel au désir
C’est un classique qui ne manquera pas de la faire décoller. Certaines aiment les léchouilles dans l’oreille, d’autres détestent. Au risque d’avoir un goût de cérumen dans la langue, attardez-vous plutôt un peu plus sur l’arrière de l’oreille et l’hélix (contour supérieur). Décharges électriques assurées !
Jeu de main, jeu de coquins
Allez savoir pourquoi l’excitation peut parfois vous prendre par la paume de la main. C’est par là que tout devrait commencer. Plus l’amant n’y va pas de main morte, pressant et massant ce réceptacle sensoriel insoupçonné, plus la femme se laissera aller à d’indicibles sensations.
Je prends mon pied
Nul besoin d’être fétichiste pour flatter cette zone, reléguée à tort au rang infirme. Les pieds sont de formidables zones érogènes assorties de sensorielles terminaisons nerveuses, à explorer sans tabou ni gène. La voute plantaire correspond selon la médecine chinoise aux organes génitaux. Laissez-vous masser fermement cette partie, et vous n’aurez qu’à y prendre votre pied !