Parmi les actes les plus vils et les plus dévastateurs qu’une femme peut subir est le viol. En plus de la douleur et des blessures physiques que cela peut lui causer, elle souffre généralement de traumatismes psychiques importants qui perturbent gravement son identité et son estime de soi, et augmentent ses risques de sombrer dans la dépression ou d’avoir des troubles du comportement.
C’est pourquoi, il est important d’apprendre à se défendre dans de telles situations et de veiller à la protection des personnes incapables de se défendre seules, comme les jeunes enfants, les personnes âgées, handicapées, etc.
Dans ce qui suit, vous retrouverez l’histoire d’Helen, une femme âgée de 88 ans, et qui a failli être violée dans l’appartement où elle vivait seule.
Trois mots salvateurs
Helen Reynolds est une femme âgée de 88 ans, qui menait une vie paisible dans son appartement où elle vivait seule. Un jour, un homme frappe à sa porte et se présente comme étant son voisin et lui demande un verre d’eau.
Or, dès qu’Helen lui ouvre la porte, il la pousse à l’intérieur et commence à fouiller dans ses affaires. L’homme n’était pas son voisin, mais un malfaiteur. Il était à la recherche de quelque chose de valeur à dérober, mais ne trouvant rien d’autre que quelques 40$ dans le sac à main de sa victime, il décide de passer à autre chose…
Il ligote donc les mains d’Helen, la bâillonne avec du ruban adhésif et commence à lui arracher ses vêtement. Son intention était plus qu’évidente : il allait la violer. Pour se défendre et l’empêcher de lui faire subir un tel supplice, la vieille femme tente de lui asséner un coup de pied entre les jambes, mais elle n’y réussit malheureusement pas. Elle n’avait donc d’autre choix que de réfléchir à une autre solution, et très rapidement.
Soudain, une idée brillante lui vient à l’esprit. Elle ne dit que 3 mots, et ces derniers ont eu un effet magique sur son violeur qui n’a pas tardé à prendre ses jambes à son cou : « J’ai le Sida ». Ayant capté l’attention de son agresseur, elle enchaine en disant que son mari en était atteint de son vivant et que c’était la cause de son décès. Même si cette histoire n’était qu’un mensonge monté de toutes pièces, elle a suffi à dissuader le violeur et à éviter à Helen un traumatisme aussi bien physique que psychique.
Après cet incident, Helen a été invitée sur le plateau de la chaîne NBC, et lors de son interview, elle a déclaré n’avoir rien à dire à son agresseur, et qu’elle ne voulait qu’une seule chose : le voir arrêté et mis en prison pour bien longtemps.