Entre les horaires chargés, devoir jongler entre vie de famille et travail et en plus pouvoir rejoindre le monde virtuel pour rester connecté, on se retrouve souvent avec un mode vie rapide qui manque de valeurs. Au lieu de traiter nos parents avec attention et respect qu’ils méritent bien d’ailleurs, nombreuses sont les personnes qui sont trop occupées et éloignées de leur famille pour une raison ou une autre. L’histoire de ce vieil homme vous fera réfléchir sur l’une des choses les plus importantes de la vie !
L’histoire d’un père et de son fils !
Un homme de 80 ans était assis sur le canapé chez lui avec son fils de 45 ans hautement instruit. Soudain, un corbeau s’est approché de la fenêtre.
Le père a demandé à son fils: « Qu’est-ce que c’est ? » Le fils a répondu: « c’est un corbeau ». Au bout de quelques minutes, le père a demandé à son fils une deuxième fois : «Qu’est-ce que c’est ?». Le fils a dit: «papa, je viens de te dire: c’est un corbeau ». Peu de temps après, le vieux père a de nouveau demandé à son fils une troisième fois : «Qu’est-ce que c’est ? ».
À ce moment-là, une certaine irritation apparait dans le ton du fils lorsqu’il dit à son père avec une rebuffade : «C’est un corbeau, un corbeau». Peu de temps après, le père a de nouveau demandé à son fils une quatrième fois : «Qu’est-ce que c’est ? ».
Cette fois, le fils crie sur son père en disant: «Pourquoi me poses-tu encore et encore la même question, alors que je t’ai dit tant de fois «C’EST UN CORBEAU». «N’es-tu pas capable de comprendre ça ? ».
Un peu plus tard, le père rentre dans sa chambre et revient avec un vieux journal qu’il gardait depuis la naissance de son fils. Il ouvre le journal et demande à son fils de lire une page.
Voici ce qui était écrit sur cette page du journal :
«Aujourd’hui, mon petit fils de trois ans était assis avec moi sur le canapé, lorsqu’un corbeau était sur la fenêtre. Mon fils m’a demandé 23 fois ce que c’était, et je lui répondais à chaque fois que c’était un corbeau. Je le serrais fort à chaque fois qu’il me posait la question, je l’ai pris dans mes bras 23 fois ! Je ne me sentais pas du tout irrité, je ressentais plutôt de l’affection pour mon enfant innocent ».
Le père n’avait eu aucune gêne à répondre à la même question 23 fois et, aujourd’hui, ce même père n’a posé la même question à son fils que 4 fois, pourtant ce dernier s’est rapidement senti irrité et contrarié.
La morale !
Si vos parents atteignent l’âge de la vieillesse, ne les repoussez pas et ne les considérez pas comme un fardeau, mais parlez-leur de manière aimable. Soyez sympathiques, humbles et gentils. Et surtout attentionnés et empathiques !
Dès aujourd’hui, faites-vous la promesse de respecter vos parents et dites ceci à haute voix : «Je veux voir mes parents heureux pour toujours. Ils ont pris soin de moi depuis que je suis un petit enfant et m’ont toujours envahi d’amour et d’affection. Ils ont traversé des obstacles et vécu des difficultés pour faire de moi la personne que je suis aujourd’hui ».
Partagez cette histoire avec vos amis, vous ferez peut être un parent heureux quelque part dans cette planète !